Le Loup-Garou de Londres, l’analyse de M. Bobine

Dans le gang de réalisateurs barbus que formaient George Lucas, Steven Spielberg, Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, ou encore Brian de Palma, Il en est un que vous ne connaissez peut-être pas : John Landis. Pourtant, même si on se souvient souvent du Loup-garou de Londres pour les effets spéciaux et les maquillages gores ultra réalistes de Rick Baker, c’est avec ce film que Landis a posé les bases d’un genre nouveau : la comédie d’horreur. Parmi les nombreux films à se revendiquer de la comédie d’horreur, on pense tout particulièrement à Shaun of The Dead, le premier volet de la trilogie Cornetto d’Edgar Wright. Notons d’ailleurs que comme rien n’est le fruit du hasard, Le Loup-Garou de Londres est bien évidemment l’un des films préféré du jeune réalisateur anglais !

Le nom de John Landis apparaît dans un autre épisode du Ciné-club de M. Bobine puisque comme nous l’avons dit, Landis était un ami de Steven Spielberg, enfin… C’était le cas avant que Spielberg ne se lance dans le tournage d’Indiana Jones et le Temple Maudit
Nous mettons également le cinéma anglais à l’honneur puisque nous avons également consacré un épisode à des classiques comme Le Voyeur de Michael Powell, ou (dans un tout autre genre) Withnail and I de Bruce Robinson !

Le loup-garou de Londres : l’analyse de Monsieur Bobine
Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau
Écriture, recherche : Cyril Rolland

Le loup-garou de Londres :
Réalisé par John Landis
Avec David Naughton, Griffin Dunne, Jenny Agutter
Genre : horreur, comédie

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