Shin Godzilla : l’analyse de M. Bobine

Aujourd’hui nous allons parler de la plus terrifiante apparition de Godzilla depuis le film d’Ishiro Honda en 1954, non pas dans le remake américain de 2014 par Gareth Edwards, ni même dans le Godzilla de Roland Emmerich, mais dans Shin Godzilla (ou Godzilla Resurgence) d’Hideaki Anno et Shinji Higuchi sorti en 2016. Confronté à la lourde tâche de revigorer la plus longue franchise du monde, l’auteur de la série, puis des films Evangelion va opter pour une approche radicale : tout raser pour tout reconstruire !

Le film n’est malheureusement pas sorti ni sur nos écrans ni en bluray dans notre beau pays, je suis donc parti du principe que vous n’avez pas vu Shin Godzilla. Cette chronique est donc relativement exempte de spoilers (ou en tout cas, rien qui ne gâche la vision du film). Et comme il n’existait pas de sous-titres français disponibles (à ma connaissance), j’en ai édité moi même et vous pouvez les récupérer ici : Shin_Godzilla_FR_team_Bobine . D’ailleurs, il y a pas mal de points sur lesquels ces sous-titres sont perfectibles (notamment sur le nom des postes occupés par les protagonistes) donc vos remarques et vos corrections sont les bienvenues.

Et si comme nous, vous adorez voir des villes entières se faire piétiner par des kaijus, l’épisode du Ciné-club de M. Bobine consacré à Pacific Rim de Guillermo Del Toro vous tend les bras. Nous avons également consacré un épisode à Matango, un des films les plus sombres du réalisateur de Godzilla : Ishiro Honda !

Shin Godzilla : l’analyse de Monsieur Bobine
Écriture, réalisation, voix, montage : Julien Pavageau

Shin Godzilla : Réalisé par Hideaki Anno et Shinji Higuchi
Avec : Hiroki Hasegawa, Satomi Ishihara, Yutaka Takenouchi
Genre : Kaiju Eiga

2 commentaires

  1. Viens de le regarder, un pur kiff, loin des merdes US actuelles…
    Les politiques en prennent plein la tête, résonance Fukushima oblige, Godzilla est exceptionnel graphiquement, passant de la larve dégueu aux yeux enfantins au monstre qu’on se figure plus facilement.
    Merci de tes sous-titres maison, que j’ai trouvés impeccables !

  2. Un grand merci à l’ami d’Undercut pour avoir remis en lumière ta traduction.
    Et un grand merci à toi, du coup, pour cette superbe traduction.

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