Canal Plus et le cinéma, l’analyse de M. Bobine

Aujourd’hui, quand on évoque le nom de Canal+, ce ne sont pas forcément des images agréables qui nous viennent en tête. On pense généralement à Vincent Bolloré qui gère le groupe d’une main de fer, aux scandales Sébastien Thoen et Pierre Ménès, aux populistes qui ont envahi l’antenne des petites sœurs gratuites de la TNT : C8 et CNews, ou encore au feuilleton à rebondissements autour des droits de la Ligue 1.

Mais avant tout ça, Canal+ a été pendant longtemps une chaîne vraiment à part dans le paysage audiovisuel français. Certains s’en souviennent comme de “la chaîne du foot et du porno”. Pour d’autres, comme nous par exemple, c’était indiscutablement la chaîne du cinéma. En plus d’avoir diffusé une palanquée de films qui ont été autant de pierres angulaires de notre cinéphilie (comme – au hasard – Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir de George Lucas), le nom de Canal+ s’est retrouvé au générique d’un paquet de films atypiques français parmi lesquels La Haine et Les Rivières pourpres de Matthieu Kassovitz, Bernie d’Albert Dupontel, Dobermann de Jan Kounen ou encore Seuls contre tous et Irreversible de Gaspar Noé… Mais aussi des films américains prestigieux comme Terminator 2 de James Cameron et surtout Mulholland Drive de David Lynch, et oui, rien que ça !

Nous allons donc revenir dans cet épisode sur cette longue histoire d’amour entre le grand et le petit écran, faite de succès pharaoniques, d’échecs cinglants, d’espoirs gâchés et de jingles entêtants !

Je vous invite également à regarder le making of de ce long épisode que nous diffusé sur notre chaîne Twitch toute neuve et qui est disponible en rediffusion sur YouTube !

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