M. Bobine et le High Frame Rate

La semaine dernière sortait le dernier film de Ang Lee : Un jour dans la peau de Billy Lynn dont la particularité est d’avoir été tourné en Imax 3D  en High Frame Rate, c’est à dire à 120 images par secondes, soit un framerate cinq fois plus élevé que la norme actuelle. Malheureusement, le film n’est diffusé qu’en 24 images par secondes en 2D dans les salles françaises. La première fois que le public s’est frotté au HFR, c’était avec Le Hobbit de Peter Jackson et l’accueil a malheureusement été assez froid… Mais pourquoi le High Frame Rate, qui corrige pourtant quasiment tous les défauts du 24 images par secondes n’a pas conquis le public ? Et pourquoi somme-nous coincé à 24 images par secondes depuis près d’un siècle ? En attendant de voir ce que James Cameron va faire du High Frame Rate avec les suites d’Avatar, nous allons tenter de répondre à ces questions !

Pour aller plus loin, nous avons également parlé d’une autre convention liée à la perception des spectateurs dans un épisode du Ciné-club de M. Bobine : le son dans l’espace.

Le HFR : l’analyse de Monsieur Bobine :
Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau
Écriture, recherche : Julien Pavageau, Nicolas Bonci

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