Pacific Rim de Guillermo del Toro, l’analyse de M. Bobine

A première vue, Pacific Rim semble un peu à part dans la filmographie de Guillermo del Toro. En effet, on peut se demander si le réalisateur mexicain est capable d’accoucher d’un film aussi personnel que, disons, l’Échine du Diable ou Le Labyrinthe de Pan, alors qu’il se voit confier un blockbuster estival avec un giga budget de 200 millions de dollars et les costards-cravate de la Warner sur son dos ? Vous vous en doutez, M. Bobine pense évidemment que oui !

En effet. Si beaucoup n’y ont vu qu’un simple cross-over opportuniste entre Godzilla et Transformers, cette avant-dernière réalisation du cinéaste mexicain est en réalité une véritable déclaration d’amour à un genre cinématographique dont il est l’un des plus grands fans : le Kaiju Eiga. Ce faisant, il convoque toute une imagerie quasiment inconnue du grand public occidental dans le but de réaliser le film de monstres géants ultime !

Et pour aller plus loin, nous vous invitons à lire ce passionnant article sur la symbolique des couleurs dans le cinéma de Guillermo del Toro et plus particulièrement dans Pacific Rim.

Évidemment, nous éviterons pudiquement d’aborder la douloureuse question de Pacific Rim: Uprising, la suite réalisée par Steven S. DeKnight sur laquelle Guillermo Del Toro n’était malheureusement pas impliqué…

PACIFIC RIM : l’analyse de Monsieur Bobine
Écriture, voix, montage, réalisation : Julien Pavageau

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